ETATS-UNIS / IRAN UNE - UNION SACREE POUR SEMER LE CHAOS EN IRAK

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Pourquoi avoir exécuté Saddam Hussein et deux de ses co-accusés alors que des procès à leur encontre sont toujours en cours ? Qu’est-ce qui a provoqué une telle rapidité d’exécution ? Mais, surtout, ces actes ne visent-ils pas à camoufler le passé pour éviter que n’apparaissent au grand jour les connexions entre Saddam et l’Occident ?

S. Hussein a été accusé de crimes de guerre, crimes contre l’humanité et génocide. Le gouvernement chiite d’Irak  sous tutelle de Washington, a bien respecté la consigne de limiter considérablement les compétences du tribunal irakien, afin de laisser en paix un grand nombre de complices étrangers.

Consulté très en amont par le département d’Etat, qui joua un rôle-clé dans la création de ce tribunal, l’expert judiciaire américain Cherif Bassiouni explique :

 

« Tout a été fait pour installer un tribunal dont les juges ne seront pas indépendants, mais, au contraire, strictement contrôlés ; en parlant de contrôle, je veux dire que les organisateurs de ce tribunal doivent s’assurer que les Etats-Unis et les autres puissances occidentales ne seront pas mis en cause. Les statuts mêmes du tribunal feront en sorte que les Etats-Unis et les autres pays soient complètement écartés des accusations. Ce qui fera de ce procès un procès incomplet et injuste. Une vengeance du vainqueur ».

 

Le procès aurait dû être celui des gouvernements qui, naguère, ont armé Saddam Hussein, français, allemand, américain, saoudien... Le procès aurait dû se tenir devant une Cour internationale.

 

 

 

TABLE DES MATIÈRES

 


Introduction

Qui sont les Safavides ? Genèse de leur intérêt pour l’Irak

Washington et Téhéran complices dans le crime

Washington choisit la fuite en avant

Negroponte doit museler Condoleezza Rice

La fuite en avant des bushistes

 

ANNEXE I – Iran : les heures sont comptées

 

ANNEXE II – Une attaque américaine contre l’Iran serait hasardeuse

 

ANNEXE III – Zbigniew Brzezinski accuse les bushistes

 

ANNEXE IV – Iran : le Moyen-Orient au bord du chaos

 

 

Format A4 – 71 pages